
Développement industriel : Le Gabon obtient plus de 1 600 milliards FCFA d’Afreximbank
- Le corporate
- 30 juin 2025
- Editorial
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Dans un contexte africain où l’industrialisation devient un impératif pour chaque pays, le Gabon vient de franchir un cap décisif. À l’occasion de la 32ᵉ Assemblée annuelle de la Banque africaine d’import-export (Afreximbank), tenue en ce début de semaine à Abuja (Nigéria), le pays a obtenu plus de 1 600 milliards FCFA de financements pour booster son industrie.
Dans le détail, le Gabon a signé un accord principal de 3 milliards de dollars US (environ 1600 milliards FCFA) avec Afreximbank visant la transformation locale du manganèse ; le renforcement de l’offre énergétique, pour alimenter les unités industrielles en électricité fiable et compétitive, et la création d’une nouvelle ligne ferroviaire, reliant les zones minières aux pôles de transformation et d’exportation.
Un second financement de 200 millions d’euros (112 milliards FCFA) a été obtenu pour la construction de trois centrales électriques à Libreville, Port-Gentil et Lambaréné. À la clé, 300 mégawatts de capacité de production supplémentaires.
Ces engagements financiers sont obtenus dans un contexte marqué par l’entrée en production imminente de plusieurs mines stratégiques, telles que Belinga et Baniaka. Leur mise en exploitation nécessitait en amont le développement d’infrastructures essentielles, notamment la construction du chemin de fer Belinga-Mayumba et le renforcement de l’offre énergétique nationale.
Le renforcement énergétique constituait par ailleurs un préalable pour la transformation locale des minerais, en particulier du manganèse, que le Gabon prévoit d’initier dès janvier 2029.
Une diplomatie économique assumée
La signature de ces conventions a été conduite par une délégation gabonaise de haut niveau, comprenant notamment Henri-Claude Oyima, ministre d’État chargé de l’Économie et des Finances, Gilles Nembe, ministre des Mines et des Ressources géologiques, Philippe Tonangoye, ministre de l’Accès universel à l’Eau et à l’Énergie, ainsi que Louise Ovono, ministre de la Planification et de la Prospective.
Plus globalement, cette diplomatie économique active montre une volonté claire du Gabon : mobiliser les partenaires panafricains pour financer un développement industriel qui profite d’abord au pays. Une ambition qui s’inscrit parfaitement dans l’esprit de l’édition 2025 d’Afreximbank, à savoir : un continent africain maître de ses choix économiques et architecte de son propre destin industriel.
Ceci, conformément à l’idée de cette édition 2025 d’Afreximbank, qui a consacré une volonté partagée : celle d’un continent maître de ses choix économiques et architecte de son avenir industriel.
ChatGPT a dit :
Voici une version réécrite de l’article, dans un ton afro-optimiste, à la manière du New York Times, mettant en lumière le leadership du Président de la République gabonaise et la technicité de son ministre des Finances, dans un style fluide, structuré et inspirant :
Le Gabon trace sa voie vers l’industrialisation : Un partenariat stratégique de plus de 1 700 milliards FCFA avec Afreximbank.
Dans un moment charnière pour l’avenir industriel du continent africain, le Gabon fait figure de proue. Porté par une vision claire du Chef de l’État, le Président de la République, le pays vient de franchir un tournant historique à Abuja, lors de la 32ᵉ Assemblée annuelle d’Afreximbank. Plus de 1 700 milliards FCFA de financements ont été mobilisés pour ancrer durablement l’industrialisation du pays, confirmant ainsi l’ambition gabonaise de se positionner comme un acteur industriel régional incontournable.
Sous les orientations stratégiques du Président, le gouvernement gabonais, conduit avec rigueur par Henri-Claude Oyima, ministre d’État à l’Économie et aux Finances, a su convaincre les bailleurs panafricains de la solidité de son agenda de transformation structurelle. L’accord phare, d’un montant de 3 milliards de dollars (environ 1 600 milliards FCFA), cible des axes majeurs : la transformation locale du manganèse, le renforcement d’une offre énergétique compétitive et la création d’une nouvelle ligne ferroviaire stratégique entre les zones minières et les pôles de transformation et d’exportation.
En parallèle, 200 millions d’euros supplémentaires (près de 112 milliards FCFA) ont été obtenus pour la construction de trois centrales électriques à Libreville, Port-Gentil et Lambaréné, visant une augmentation de la capacité de production énergétique de 300 mégawatts. Une avancée significative, dans un pays où l’énergie est appelée à devenir un levier de compétitivité industrielle.
Une planification structurée au service d’une ambition continentale
Ce plan d’investissement intervient à un moment décisif : le pays s’apprête à entrer dans une nouvelle ère minière avec la mise en production de gisements stratégiques tels que Belinga et Baniaka. Pour le Gabon, il ne s’agit pas simplement d’extraire, mais de transformer localement, créant ainsi de la valeur ajoutée et des emplois. Dès janvier 2029, la transformation locale du manganèse deviendra une réalité, appuyée sur une infrastructure ferroviaire modernisée et une offre énergétique renforcée.
Au-delà des chiffres, c’est une diplomatie économique assumée et proactive qui s’exprime. La délégation gabonaise, composée de ministres clés aux expertises complémentaires — mines, énergie, économie, planification —, a incarné une vision cohérente, portée par un leadership présidentiel résolument tourné vers l’action.
Une Afrique qui construit son futur industriel
Ces engagements avec Afreximbank s’inscrivent dans la ligne directe du nouveau modèle économique promu par le Président gabonais : un modèle fondé sur la souveraineté productive, la diversification économique et la montée en gamme industrielle. Le Gabon ne se contente plus d’espérer ; il construit, planifie et investit dans des infrastructures stratégiques pour devenir acteur de son avenir.
Ceci, conformément à l’idée de cette édition 2025 d’Afreximbank, qui a consacré une volonté partagée : celle d’un continent maître de ses choix économiques et architecte de son avenir industriel.